lundi 9 mai 2016

Une suite attendu et superbe pour Glacé de Bernard Minier : Le Cercle




Personnages : 5/5
Style : 4.5/5
Suspence : 4/5
Scénario : 5/5


Le Cercle, Bernard Minier : 18.5/20









Mon avis :


Suite de mon coup de cœur d'il y a deux ans, Glacé, Le cercle de Bernard Minier, n'a rien a envier à ce dernier. On y retrouve le commandant Servaz, plusieurs mois après les événements tragiques qui ont eu lieu dans les Pyrénées, cette fois-ci à Marssac, petite ville du Tarn. Après la mise en scène macabre de la mort d'une professeur, il est appelé par son premier grand amour pour venir innocenter son fils. L'implication de sa fille lors de cette enquête rend l'enjeu d'autant plus intéressant. 

jeudi 28 avril 2016

Double Je de Franck Thilliez, une nouvelle originale mais inefficace.




Franck Thilliez a innové avec cette nouvelle écrite pour le Palais de Tokyo. Un format original, une mise en page intrigante, de fines illustrations, l'auteur a vraiment réussi une prouesse d'originalité.

Même si je n'aime pas le style de Franck Thilliez, que je trouve trop lourd, orné de descriptions étouffantes qui desservent le récit, j'ai été séduite par la forme de Double Je et j'ai déboursé 2,90€ sans scrupules. 


lundi 25 avril 2016

Le briseur d'âme SEBASTIAN FITZEK

Mes professeurs de littérature et de philosophie au lycée m'ont toujours dit que l'on ne peut jamais mettre un 20/20 en ce qui concerne l'écriture. C'est pourquoi aujourd'hui je ne met qu'un 19,5/20 au Briseurs d'âme de Fitsek. Dire d'un livre qu'il touche à la perfection se serait mettre un point final à la recherche du récit parfait et je suis toujours à la recherche de nouveaux romans qui m'emporteront toujours plus loin. 

Pourtant, selon mes critères, Fitzek a tout de l'écrivain parfait. Chacun de ses romans est aussi bon, voir meilleur que le précédent. 

samedi 16 avril 2016

AM STRAM GRAM - M.J Alridge





Ce qui différencie un écrivain d’un bon écrivain, c’est sa capacité à faire naître et grandir en nous cette pression palpable, celle qui nous amène à penser, voire à rêver, de notre livre dans nos pauses de lecture. Cette pression qui nous pousserait presque à regarder sous notre lit, à inspecter notre placard et à tourner deux fois les verrous de la porte d’entrée.